🧙 Comment ce solopreneur génère $2M / an en full inbound ?
Et comment tu peux répliquer sa stratégie.
Hello !
On est (extrêmement) heureux (et émus) pour la première édition de cette newsletter.
Newsletter, qui n’a d’ailleurs pas (encore) de nom.
→ Si tu as des idées, n’hésite pas à nous en faire part en répondant à cet e-mail !
Dans un premier temps,
On veut savoir ce que tu as pensé des 5 cours que tu as reçu ?
On a reçu des dizaines de retours positifs et ça nous touche beaucoup.
Tu sais, dans tout ce que l’on fait au quotidien et toute la valeur qu’on apporte,
→ Rien n’est tangible, tout est virtuel.
Alors, tes retours (positifs, comme constructifs) sont une véritable source d’inspiration pour nous !
Le Mur du Love 💚 :
À chaque édition de cette newsletter, on mettra en avant un des superbes témoignages qu’on reçoit 🫶
Trève de bla-bla,
Aujourd’hui, on va voir comment un solopreneur Américain arrive à générer ~$2M/an TOUT SEUL grâce à 2 leviers surpuissants.
Et comment tu peux t’inspirer de sa stratégie pour scaler ton business.
⚠️ ATTENTION : Ces éditions sont FULL valeurs, elles sont donc souvent (trop) longues pour un e-mail classique, tu verras donc à la fin de l’e-mail dans ta boîte mail un petit message comme ceci : ⚠️
Clique alors sur le lien qui s’affichera à la fin de l’e-mail pour ouvrir le mail dans ton navigateur et ainsi pouvoir le lire en entier.
⚠️ Ou tu peux le lire dans Substack, où l’expérience sera d’ailleurs BEAUCOUP plus agréable
PS : On t’offre notre grimoire de ressources vers la fin de la newsletter.
Le plan pour cette étude de cas :
Qui est Brett ?
L’histoire de DesignJoy.
L’histoire de Productize Yourself.
La stratégie marketing (organique) de Brett.
Comment tu peux appliquer tout ça à ton business.
1/ Qui est Brett ?
Brett Williams est le fondateur de DesignJoy, une agence de design unique en son genre qui a tout n*quer dans l'univers du design grâce à un business model innovant basé sur l'abonnement.
En 2009, alors qu’il est designer, employé d’une entreprise, il tombe sur DesignPickle
↳ Une agence productisée qui propose des prestations de design par abonnement.
↳ Brett voit tout de suite en ce modèle une véritable révolution et quitte son travail pour faire de même.
C’est le début de DesignJoy, en 2017
2/ L’histoire de DesignJoy.
DesignJoy, c’est une innovation majeure dans la façon de délivrer un service.
↳ On parle d’agence productisée.
Mais qu’est-ce que c’est en fait une agence productisée ?
En 4 mots :
Process
Scalabilité
Abonnement
Standardisation
C’est tout simplement le fait de vendre tes services comme des produits.
↳ Donc sous forme de package.
Ça a de nombreux avantages :
→ Simplicité des process pour le prestataire, comme pour le client.
→ Prévisibilité des revenus pour le prestataire.
→ Optimisation des coûts.
→ Scalabilité.
Voici à quoi ressemblent les offres de DesignJoy :
Tu peux voir qu’on est (très) loin des :
“devis sur-mesure”
“réserver un appel”
Ton client sait à quoi s‘attendre.
↳ Tu sais (en tant que prestataire) exactement ce que tu vas délivrer.
↳ Ce qui va te permettre de scaler, car tu vas pouvoir créer un process qui restera le même pour chaque client.
Mais comment Brett s’est démarqué de DesignPickle ?
Et oui, rendons à César ce qui appartient à César.
Ceux qui ont été les premiers à démocratiser les agences productisées aux US, c’est DesignPickle.
Mais Brett est venu ajouter une touche de magie 🧙 et pas des moindres.
→ Il a compris quel était le problème du marché.
↳ Les entreprises doivent toujours s’engager.
Que ce soit avec :
un employé (CDI)
un alternant (contrat)
un free-lance (contrat)
Brett a ajouté le “Pause or cancel anytime” (Met en pause ou arrête quand tu veux)
Pardon ?
Ça veut dire que je peux prendre un abonnement et l’arrêter au bout de 2 semaines, puis le relancer 3 mois plus tard pour 2 semaines ?
→ OUI.
Ça veut dire que je peux prendre un abonnement pour des besoins spécifiques que j’ai, puis l’arrêter et le reprendre 2 ans plus tard ?
→ OUI.
Bref, tu l’auras compris, c’est magique.
Bon, évidemment, ce qui rend l’offre irrésistible, c’est aussi :
Average 48 hour delivery
Unlimited brands
Unlimited users
→ Rapidité d’exécution.
→ Illimité (l’humain adore quand c’est “illimité”).
Bref, c’est comme ça que DesignJoy devient rapidement incontournable sur le marché avec pour seul employé, son fondateur : Brett.
Aujourd’hui et depuis plusieurs années maintenant, DesignJoy tourne autour des 120k€ de MRR.
↳ Selon nous, Brett peut largement scaler davantage, si il recrutait quand même un peu pour déléguer l’opérationnel.
↳ Mais il le dit lui-même en ITW, son objectif n’est pas de scaler un business (vers l’infini et l’au-delà)
↳ Son objectif, c’est de continuer à faire du design, mais non pas pour 50k€/an comme c’était le cas lorsqu’il était employé, mais pour 120k€/mois.
Ça fait une belle différence.
⚠️ Et pour ceux qui disent que c’est du CA, les seuls coûts de Brett sont ses outils pour gérer son activité.
↳ On tourne autour de $1000/mois (MAX).
↳ Donc on est sur du 99% de bénéfice (pas dégueu).
⚠️ Brett n’a jamais démarché, il a toujours obtenu ses clients en 100% inbound. Grâce à son personal branding, qu’il développe depuis des années maintenant.
↳ On en parle plus en détail dans la partie sur sa stratégie marketing.
3/ L’histoire de Productize Yourself.
Quelque chose qui prend de plus en plus de place dans le business de Brett (en terme de revenus), c’est son infoproduit.
Et là, on peut voir que même si il se dit ne pas être un énorme entrepreneur full business, mais un solopreneur “chill”.
↳ Il reste une pt de machine de guerre qui sait scaler un projet.*
Et tout ça grâce à… 🥁🥁🥁
LA CRÉATION DE CONTENU.
Oui, comme précisé plus haut, Brett base toute son acquisition sur son personal branding et sa création de contenu.
↳ Autant pour DesignJoy que son infoproduit.
Son modèle atypique, et assez révolutionnaire il y a encore quelques, années intrigue.
↳ C’est parce qu’il a toujours build in public son agence que les gens ont commencé à lui poser des questions sur comment pouvaient-ils répliquer ça.
(Oh, c’est drôle, comme nous et tout le monde qui apporte de la valeur en partageant ses avancées)
Il a alors, créé Productize Yourself.
↳ Un guide simple de quelques audios pour expliquer aux gens comment productiser leur activité.
Et ça a tout de suite été un carton.
Aujourd’hui, Brett a donc réussi à se bâtir un empire à presque $2M/an, avec quasiment aucun frais, seul et en travaillant 6h/jour sur son business.
Honorable non ?
4/ La stratégie marketing (organique) de Brett.
On en vient à la partie intéressante.
→ Brett, comme je l’ai dis, n’a jamais fait de cold outreach.
Brett est ce que l’on appelle dans le jargon un entrepreneur smart (lol).
↳ Blague à part, il a vraiment alloué beaucoup de temps au début à construire sa brand et son engagement avant de pouvoir vraiment commencer à avoir des clients inbound.
Et c’est normal, ça fait partie du jeu.
↳ Mais on trouvé ça (très) intéressant de te montrer la puissance que peut avoir l’inbound pour ton activité.
Alors, concrètement, qu’est-ce qu’a mis en place Brett ?
1. Il a passé beaucoup de temps à ses débuts sur un site qui s’appelle Indiehackers.com.
Alors, si tu n’es pas trop adepte du milieu tech US, le mouvement indie hacker consiste à “build” des projets tech et notamment a démocratiser un principe que j’adore :
Test fast, Fail fast, Learn fast.
Bref, ils sont dans l’action et ils buildent des choses.
↳ Et souvent, ils encaissent.
Brett a eu la bonne démarche :
→ Il s’est demandé qui était sa cible.
→ Il a compris que c’était ces mecs de la tech qui développaient des projets et qui étaient bons en code mais (très) nuls en design.
→ En plus, pour beaucoup d’entre eux, ils ont de l’argent à investir, car la tech, ça rhalass (lol).
Donc il a tout simplement décidé de passer plusieurs heures tous les jours sur ce réseau.
Est-ce qu’il a crée du contenu là-bas ?
Même pas !
Et c’est ça qui est beau.
Bah oui, Brett, c’est un designer, pas un techos à lunette (je sais ultra cliché, c’est une blague) mais bref, il avait pas les codes. (les codes, jeu de mot avec le code t’as vu lol)
(Ok j’arrête…)
Par contre il a compris le jeu de l’engagement sur les réseaux.
↳ Surtout les réseaux à l’écrit.
Il a donc passé ses journées à commenter et à apporter BEAUCOUP de valeur gratuite aux devs là-bas, grâce à ses connaissances en design.
Il faisait des feedbacks
il donnait son avis
il rencontrait des gens
Bref, il a compris le principe d’un réseau SOCIAL.
↳ Il a écrit au total, +1000 commentaires là-bas.
Et c’est comme ça qu’il a commencé à avoir ses premiers clients.
↳ Puis, quand la machine est lancée, ça part.
2. Twitter
2 ans après, il décide de se lancer sur Twitter.
↳ J’imagine avec son idée d’infoproduit derrière la tête.
Et là, il explose tout.
↳ Car, quand tu commences à comprendre les codes d’un réseau, ça devient beaucoup plus facile à répliquer (surtout si le format est le même, en l’occurence, 2 réseaux écrits)
3. Développer sa présence sans avoir à créer de contenu.
Pour finir dans sa quête de personal branding, Brett va appliquer la méthode suprême de la puissance :
→ Que les gens créent du contenu sur toi.
Par exemple, en France, Oussamma Amar, a fait ça (inconsciemment) pendant des années.
↳ Il n’avait quasiment aucun média, mais par contre tu le connaissais, car tout le monde parlait de lui.
Un autre exemple parlant, c’est Margo Cunego, dont tu as peut-être récemment entendu parler.
↳ Elle se fait invitée dans tous les podcasts.
↳ Les gens font des posts sur elle.
C’est la meilleure manière de développer son personal branding.
Quand les gens commencent à plus parler de toi que tu ne le fais toi-même.
↳ Évidemment, c’est une étape ultime qui arrive après des années d’efforts et de travail sur sa brand personnelle.
Bref,
Des posts sont faits sur lui
Des articles de blog lui sont dédiés
Brett va intervenir dans des tonnes de podcasts
Des vidéos Youtube, TikTok, Instagram lui sont dédiées
Et même nous aujourd’hui, on est en train de te parler de lui
C’est aussi toute la puissance de la création de contenu et d’internet.
↳ Ce qu’on appelle l’effet boule de neige.
Et du point de vue de son offre alors, comment a-t-il fait ?
1. Accepter que les débuts seront difficiles.
L’entrepreneuriat où tu fais beaucoup d’argent super vite est soit faux, soit pas durable.
Surtout quand tu bases tout sur l’inbound.
↳ Tu dois être prêt à être patient et laisser le temps aux choses pour construire un business durable et viable sur le long terme.
Brett s’est sous-pricé au début, afin de lancer la machine.
C’est smart pour plusieurs raisons :
Tu testes tes process
Tu récoltes des témoignages
Tu prépares la sauce du bouche à oreille
Tu affines ton offre pour la rendre encore plus irrésistible
Tu te fais un nom.
2. Un scope de service bien défini.
Il a très rapidement compris que pour être le plus efficient possible dans son temps de travail opérationnel, il allait devoir ne pas faire du sur-mesure pour chaque client.
→ C’est tout le principe de la productisation.
↳ Faire en sorte de n’avoir qu’un scope précis de service et ne pas en sortir.
3. Il a progressivement augmenté ses tarifs.
Il est passé d’un modeste $500/mois (pour du design illimité, sans engagement, je le rappelle)
À $5000/mois aujourd’hui.
4. L’infoproduit.
Son infoproduit est la cerise sur le gâteau du solopreneur de rêve qu’il incarne.
C’est créé une fois et revendu un nombre infini de fois.
5/ Comment tu peux appliquer tout ça à ton business.
L’inbound, ça peut prendre un certain temps à se mettre en place, mais quand c’est fait, tu casses tout et tes clients viennent en automatique.
Ta progression quand tu fais de l’inbound
Les gens voient facilement ça comme du temps de “perdu”.
Mais, il faut voir les choses autrement.
→ Personnellement, on voit ça comme du temps investis différemment.
Au lieu de prendre 4h/jour pour démarcher comme beaucoup font et obtenir 1-2 clients/mois en me vidant de mon énergie + sans que ce soit forcément long terme.
↳ Car, quand tu fais de l’outbound, tu vas chercher des résultats instantanées.
Je vais prendre 4h/jour pour engager, créer et développer du contenu et mon personal branding.
Certes, je n’aurais pas 1-2 clients le 1er mois.
↳ Mais le 2e, ça peut être le cas.
↳ Puis le 3e, j’en aurais 3-5.
↳ Et dans 1 an, je refuserais des clients.
En fait, il faut comprendre que :
inbound = intérêts composés (multiplication)
outbound = intérêts additionnés (addition)
Pour imager ça :
Bien sûr, je généralise.
↳ L’outbound, ce n’est ni mal, ni inutile.
↳ L’outbound, c’est juste une façon différente de faire les choses.
↳ Une façon qui va te demander de ne jamais arrêter de démarcher si tu veux continuer d’avoir des clients.
↳ Mais aussi, une façon plus rapide d’obtenir des clients.
Et pour te montrer que je ne suis pas contre l’outbound, j’estime que c’est même primordial dans un but de scaling d’en faire.
↳ Tu touches forcément un plafond de verre avec l’organique à un moment.
L’oubtound se révèle alors terriblement efficace.
Par contre là où je critique un peu plus l’outbound, ce sont pour les entrepreneurs qui se lancent et qui pensent que c’est en démarchant 4h tous les jours que leur business va devenir le rêve entrepreneurial qu’on te vend partout sur les réseaux.
Tu rentres dans un cercle vicieux quand tu fais ça.
↳ Et nous, on veut créer des cercle vertueux.
Alors, concrètement, voici comment tu pourrais passer à l’action pour développer ton business comme Brett l’a fait :
1. Étudier ta cible.
La base des bases, c’est de savoir où est-ce que ta cible se trouve.
Est-ce que tu es coach sportif d’entrepreneur ? (bisous Flavio) Et ta cible se retrouve donc clairement sur LikedIn.
Est-ce que tu as un e-commerce qui vend des rasoirs pour les c**** ? Auquel cas ta cible se trouve sur TikTok et Instagram (Shorts)
Oui ça existe vraiment et ça brasse des $M/an, ça s’appelle “balls”
Est-ce que tu as une agence de design pour les SaaS ? Auquel cas ta cible sera très certainement sur IndieHacker, Twitter US, Reddit.
Bref, la base des bases déjà, c’est de savoir pourquoi tu vas aller mettre du temps et des efforts sur un réseau et anticiper les résultats que ça peut t’apporter.
Le meilleur moyen de savoir ça, c’est de voir si tes concurrents sont aussi sur ce réseau.
↳ Par concurrent, j’entends au moins qql qui a la même cible que toi.
2. Étudier le réseau et ses codes.
Une fois que tu as trouvé le réseau parfait,
Tu n’as pas envie de faire partie de ces personnes qui sont sur un réseau sans trop vraiment savoir pourquoi, à poster du contenu qui ne te correspond pas, en ne comprenant rien à ce qu’il se passe.
Va voir des créateurs du réseau que t’as choisi
Demande des conseils, mais essaye aussi d’apporter de la valeur
Étudie et analyse tous les recoins du réseau, prends des heures et des jours entiers pour tout comprendre.
Regarde des vidéos Youtube et des conseils et astuces sur le réseau.
↳ Mais surtout, pas TROP. Si tu prends +d’1 semaine avant de passer à l’action, ça va être difficile de s’y mettre après.
Maintenant que tu as tout étudié sur le réseau, tu vas être prêt à établir ta stratégie.
3. Établis ta stratégie sur le réseau que tu as choisi.
Là, pareil, ne prends pas TROP de temps.
↳ En 1 journée, ta strat doit être claire.
Pourquoi tu ne dois pas y passer trop de temps ?
↳ Car, ta première stratégie va puer la m*rde.
↳ Ton premier contenu sur ce réseau va puer la m*rde.
↳ Tes premières interactions seront chelous.
C’est ok, relax, c’est normal.
Mais accepte ça et fonce vite faire ces premières fois pour passer ce cap.
4. Engage.
Tu l’as vu avec l’exemple de Brett, l’engagement c’est la clé.
(Surtout sur les réseaux écrits)
La phase d’engagement est primordiale et tu pourrais même ne pas créer de contenu pendant cette phase.
↳ Ça va te permettre de comprendre davantage les codes de la plateforme
↳ De commencer à savoir ce que tu vas vouloir poster, ce dont tu vas vouloir parler
↳ Et de commencer à engager sincèrement avec d’autres créateurs
Aussi, comprends qu’engager, ce n’est pas dire “bravo” ou “félicitations” sous les posts des gens.
Engager, c’est apporter de la valeur.
↳ De la VRAIE valeur.
→ Ton commentaire pourrait limite être un mini post (mini j’ai dis), mais ça doit vraiment apporter une vision, voir encore mieux, lorsque c’est lié à ton expertise, des vrais conseils UTILES !
Sans chercher à vendre.
5. Poste.
La phase la plus fun (et difficile arrive).
↳ Tu vas ensuite commencer à poster.
Là, je t’invite à suivre nos cours si ce n’est pas déjà fait ou à télécharger notre grimoire de ressources ici :
↳ Tu y retrouveras un guide LinkedIn si ce réseau est le réseau sur lequel tu as choisi de poster.
Sinon, on a évidemment prévu des guides pour les plateformes qu’on maîtrise, à savoir :
TikTok
Twitter
Que tu retrouveras dans notre formation.
6. La valeur.
Au début, ne sois pas tenté par le fait de vouloir aller vendre comme un.e bourrin.e.
N’oublie pas, tu es sur un réseau SOCIAL.
Donc, apporte un max de valeur :
en commentaire
en DM
dans tes posts
en call si tu en fais
Et tout ça gratuitement.
C’est ça l’inbound : Give first.
Donner, donner, donner.
7. L’argent.
Une fois que tu as donné suffisamment de valeur et que tu sens que ton audience est prête à découvrir et soutenir ton offre, fonce.
Pareil, on t’explique comment faire ça bien dans les cours que tu as reçu par e-mail.
Mais dans l’idée, retiens qu’en moyenne, tu devras rester sur un ratio de 80% de valeur pour 20% de vente.
↳ Sauf en période de lancement, tu pourras bombarder un peu.
↳ Mais uniquement parce que tu auras déjà donner une tonne de valeur gratuitement pendant des semaines, voir des mois avant.
Bon, voilà, c’est terminé pour cette étude de cas.
On sait, c’était pt* de long.
Mais, c’est ça aussi le principe d’une newsletter : balancer de la VRAIE valeur.
↳ Ne pas avoir à se limiter.
Si t’es un.e warrior.e et que t’as tenu jusqu’ici, pense à répondre à cet e-mail pour nous donner ton avis.
Est-ce que t’aimes le format Étude de cas ?
Est-ce que tu préfères que les NL soient plus courtes ?
Est-ce que t’as juste kiffé ? Ahaha
Aller, bisous et à la semaine prochaine {{First Name}},
Orane & Romain 🧙♀️
Je confirme que cette newsletter est full valeur ! C’est du concret et ça me plaît, ainsi que votre authenticité ! J’avoue que je ne prends pas souvent le temps de laisser un retour alors je me rattrape ici 🙃 et c’est marrant de lire ce sujet (vive les synchronicités) car il y a quelques jours, j’ai découvert Liam Ottley et il propose exactement le même concept pour son agence 😉 Force à vous deux et au plaisir de continuer à vous lire !